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Avoir 20 ans avec ... Le Petit Faucheux >

Peu de gens le savent, mais Yolk est né entre Tours et Nantes, il y a 20 ans. Le Petit Faucheux est un partenaire de longue date du label, la plupart des musiciens du catalogue y ont joué, certains de ces albums ont même été enregistrés sur les planches de cette scène incontournable. Voici donc un parcours dans l'histoire de Yolk, concocté par Sébastien Boisseau pour les oreilles du Petit Faucheux

UN GROS CUBE... >

Vous allez voyager dans l'univers spectaculaire du grand ensemble d'Alban Darche qui fédère à lui seul une grande partie de la famille Yolk. A travers 5 albums qui couvrent 20 ans d'écriture, redécouvrez les acteurs et actrices du cinéma Yolk : Airelle Besson, Thomas de Pourquery, Sylvain Rifflet, Katerine, Samuel Blaser, Jon Irabagon, Marie Krüttli, Matthieu Donarier, Geoffroy Tamisier, Jean-Louis Pommier, Laurent Blondiau, Joël Chausse, Gilles Coronado, Olivier Laisney .... et bien sûr les cubistes de la première heure Christophe Lavergne, Arnaud Roulin et Sébastien Boisseau !

... un p'tit cube >

1er lancé de dé et facette historique du catalogue Yolk, Le Cube est ce noyau à la puissance 3 formé dès 2000 autour d'Alban Darche, Sébastien Boisseau et Christophe Lavergne. Alban en deviendra rapidement le compositeur exclusif. A ce jour 3 albums sur lesquels on croise également Arnaud Roulin (De Pourquery/Supersonic, Pony Hoax), Gilles Coronado (Sclavis, Katerine), Geoffroy Tamisier (ONJ), Patrick Charnois.

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Appuyez sur le bouton de lecture parcourrez quelques morceaux des derniers albums sortis sur Yolk

Infant eyes

Quelle sorte de lumière fait briller les yeux de l'enfant que nous sommes restés ?

Nous avons demandé à des artistes présents sur le label Yolk de choisir et de partager une archive vidéo qui les a marqué. Une rubrique en forme d'hommage au saxophoniste Wayne Shorter (Miles Davis, Weather Report...) qui composa le titre "Infant Eyes" pour l'album Speak No Evil (Blue Note, 1964)

  • Le choix de Sébastien Boisseau : Jeanne Lee et Ran Blake, en 1963


    "Ce qui me saute aux yeux, c'est l'époque de la non mise en scène ("there is so much to tell..."). Ce qui me saute aux oreilles c'est la complicité, la connexion, l'originalité de cet équilibre entre des sentiments graves et sereins. Une musique d'une beauté simple et profonde qui traverse le temps, des images d'une télé nationale qui capte et diffuse le faussement simple et le vraiment profond ..."



  • Le choix de Jean-Louis Pommier : Jim Hall "Angel Eyes"


    "J’ai découvert cette perle tôt dans mon cheminement de musicien. J’ai été tenté pendant une époque de faire de la guitare plus précisément de la guitare Jazz. J’étais déjà tromboniste et je n’avais pas encore trouvé le chemin pour devenir tromboniste de Jazz. Les études classiques m’avaient laissé un peu désoeuvré quant au travail personnel qu’il fallait fournir pour aller vers cette musique et j’ai imaginé dans mon immaturité de l’époque que puisque j’aimais le jazz et que j’avais envie d’en jouer il serait plus simple de le faire à la guitare. J’ai pris des cours avec Alain Wilsch guitariste tourangeau à l’époque et j’ai adoré cette période bien que je ne sois jamais devenu un guitariste de jazz ou d’autres musiques d’ailleurs. Il m’est resté quelques pièces comme celle ci qui est juste d’une limpidité troublante. Le jeu de Jim Hall est à la fois véloce et aérien. La formation avec Don Thompson à la basse et Terry Clarke à la batterie est de rêve pour jouer de cette puissante douceur."



  • Le choix de Jozef Dumoulin : Sting, Bring on the night, Live in Paris 1986

    "À 15 ans j'étais fan de The Police. Un jour un copain à l'école m'a passé une cassette de 'Bring On The Night' un double live de Sting avec un groupe d'excellents musiciens de jazz (à peu près le groupe de Miles Davis de l'époque). Le premier morceau termine par un long solo de piano de Kenny Kirkland; du hard-bop très funky sur un enchainement de 3 accords bien poppy. Seulement je ne savais pas tout ça quand j'ai mis la cassette en rentrant de l'école. Je me rappelle très bien de ce moment, quoique l'expérience est impossible à traduire en mots. En gros c'était la première fois que j'écoutais consciemment un solo de jazz, un solo magnifique et très puissant, et ça m'a fait un effet explosif. Je n'étais plus dans la petite chambre devant les petits haut-parleurs, j'étais très très loin et ça m'a rempli d'une joie que je ressens toujours quand j'écoute le morceau en question. Merci à Kenny Kirkland et à tous les Kenny's Kirkland que j'ai pu écouter!"